Lors d’un entraînement le 11 mai, un alpiniste est tombé d’une hauteur de plus de six mètres sur une paroi glacée, à cause d’un ancrage qui a lâché. Le coéquipier a été entraîné aussi. Ils s’en sortent avec des douleurs au dos, bassin et cou, mais rien de cassé. Trois jours plus tard, malgré ça, ils ont grimpé jusqu’au sommet du Mont Blanc, dans de bonnes conditions météo, avant de redescendre à ski. Pas de pause, pas de renoncement, juste une pause étirements.
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